Une heure de tango et une poignée de noix…
L’auteur, Gabriella NYÉKI – comme beaucoup de médecins – a trouvé sa voie dans le traitement des malades. Elle travaille en Autriche dans un hôtel médical. C’est ici qu’elle a rencontré Lisa, âgée de 82 ans qui craint vraiment la maladie d’Alzheimer et qui, pour prévenir la démence, fréquente des cours de danse chaque jour de la semaine. Puis, elle invite Gabriella à sa propriété et, pendant tout un mois, elles se rendent ensemble dans des écoles de danse, aident volontairement les habitants de la maison Alzheimer, font des excursions, rient, mangent de la noix et s’imprègnent de sagesses de la vie avec Lucia, la fille de l’étudiant argentin en médecine passant un mois à Vienne dans le cadre d’un échange scolaire.
C’est une voix intérieure qui lui chuchote qu’elle a une mission. Cette expérience spirituelle peut être un moment-charnière pour le monde entier. Un matin, elle se réveille avec la pensée de réaliser son rêve de grande envergure en révélant à tout le monde qu’elle prend une nouvelle voie aujourd’hui.
LA DANSE CONTRE LA MALADIE D’ALZHEIMER – en publiant ce livre, l’auteur veut attirer l’attention du monde à cette maladie meurtrière du XXe siècle, ayant des répercussions sur l’humeur de beaucoup de famille, et représentant de grandes charges sociales et économiques.
La maladie d’Alzheimer ne fait pas de choix, elle n’a pas de limites géographiques, ethniques, sociales et économiques. De cette façon, tout le monde peut devenir victime de la maladie incurable.
Mettons donc l’accent sur la prévention ! Le fait de danser régulièrement nous rend plus intelligent.
Des recherches ont démontré que prendre la bicylcette, nager et jouer au golf diminuaient le risque de la démence de 0 %, la lecture de 35%, le jeu avec les mots-croisés quatre fois par semaine de 47%, tandis que la danse régulière de 76%.
« Je suis vraiment émue en voyant les familles dont les membres souffrent de maladie d’Alzheimer et qui se donnent pris la peine et le temps de lire mes histoires sur la danse, – un des meilleurs moyens de la prévention de la démence -, assaisonnées des sagesses de la vie parce qu’ils ont été intéressés par ce que j’avais écrit. Je ne pourrais pas me souhaiter une reconnaissance plus grande » – extrait de la préface de l’auteur.
Publié à l’occasion de la journée mondiale Alzheimer le 21 septembre 2014.
Lecture obligatoire pour toutes les classes d’âges !